OSTENIL® TENDON : Traitement des douleurs en cas d'affections des tendons. Effective, sûr et tolérable!
Effective:
Sûr et tolérable:
Les médecins considèrent une tendinopathie en tout premier lieu comme une affection non-inflammatoire du tendon causée par une usure, une surcharge ou une mauvaise position. Cela provoque des douleurs et une limitation de la mobilité. La tendinopathie peut évoluer vers une maladie inflammatoire, plus communément appelée tendinite.
Le tendon est un tissu de liaison entre le muscle et l’os, son rôle principal est de transférer la force. La charge sur les tendons dépend de facteurs variables comme la puissance du muscle, le nombre de sollicitations (cadence), l’effet de levier plus ou moins important (muscle long ou court), etc. Lorsque la charge exercée sur le tendon est trop importante, il y a surcharge. Des exemples types sont :
Une surcharge induit une irritation avec une fragilisation du tendon pouvant déboucher sur une déchirure voire même sur une rupture. Lorsque le processus inflammatoire est activé, il est plus juste de parler alors de tendinite. Les tendons les plus connus sont le tendon d’Achille (le plus long du corps humain), le tendon du biceps, les tendons de la main ou encore le tendon du coude (tennis elbow).
Une particularité anatomique des tendons est la présence d’une bourse (poche contenant du lubrifiant) et parfois d’une gaine, afin de canaliser la force d’un muscle puissant. On retrouve un lubrifiant le long du tendon afin de permettre un meilleur glissement de celui-ci. La composition de ce liquide est fort proche de celui de la synovie (liquide présent dans nos articulations, comme le genou par exemple). Lorsque le glissement du tendon est perturbé, des frottements apparaissent, le tendon se fragilise et une tendinopathie s’installe.
De par les qualités viscoélastiques de l’acide hyaluronique, la course du tendon est à nouveau fluide et les adhésions sont fortement réduites. L’acide hyaluronique possède aussi d’autres propriétés intéressantes comme :
Une diminution des douleurs et une augmentation de la mobilité sont directement perceptibles après le traitement.
Votre médecin vous prescrira 2 injections, à réaliser à une semaine d’intervalle. Ce schéma thérapeutique apparait comme le plus efficace, sur base des études cliniques réalisées.
Si le tendon à traiter présente une gaine, le médecin injectera OSTENIL® TENDON dans celle-ci et si le tendon ne possède pas de gaine, l’injection se réalisera en péri tendineux, au point le plus douloureux.
De par le mouvement du tendon, OSTENIL® TENDON se répartira de lui-même tout le long de celui-ci.
Rapidement, vous observerez une diminution de la douleur et la limitation dans vos mouvements s’estompera. Dans la grande majorité des cas, ces améliorations sont durables et continues.
Il est toutefois recommandé de modifier ses habitudes, afin de limiter au maximum le phénomène de surcharge des tendons.
A la réapparition de nouvelles plaintes, il est possible de répéter le traitement par OSTENIL® TENDON et cela sans aucun risque.
L’efficacité thérapeutique est reproductible. De même, plusieurs tendons peuvent être traités simultanément.
1 Lynen N, Behandlung von chronischen Tendinosen durch ultraschallgesteuerte peritendinöse Hyaluronsäureinjektion – Eine interventionelle, prospektive, einarmige multizentrische Studie, OUP 2012; 1: 400–404.
2 Gorelick L, Gorelick AR, Saab A, Ram E, Robinson D, Lateral Epicondylitis Injection Therapy: A Safety and Efficacy Analysis of Hyaluronate versus Corticosteroid Injections. Adv Tech Biol Med 2015; 3: 130.
Gorelick L et al., Single Hyaluronate Injection in the Management of Insertional Achilles Tendinopathy in Comparison to Corticosteroid Injections and Non-invasive Conservative Treatments, Sch Bull, Jul 2015: 16–20.
3 Lynen N, De Vroey T, Spiegel I, Van Ongeval F, Hendrickx NJ, Stassijns G, Comparison of Peritendinous Hyaluronan Injections Versus Extracorporeal Shock Wave Therapy in the Treatment of Painful Achilles’ Tendinopathy: A Randomized Clinical Efficacy and Safety Study. Arch Phys Med Rehabil. 2017 Jan; 98 (1): 64–71.